Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Lettre à Benjamin

Leduc-Primeau, Laurence


Éditeur : LA PEUPLADE
ISBN papier: 9782924898895
ISBN numérique ePub: 9782924898963
Parution : 2021
Code produit : 1421826
Catégorisation : Livres / Littérature générale / Littérature / Littérature québécoise et canadienne

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Livre papier En rupture de stock** Prix membre : 17,96 $
Prix non-membre : 19,95 $
x
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 14,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
**Ce produits est en rupture de stock mais sera expédié dès qu'ils sera disponible.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Début 2020, le partenaire de Laurence Leduc-Primeau s’est donné la mort. C’est alors la fin d’une longue conversation. Quelques mois plus tard, l’autrice lui écrit cette lettre dans laquelle elle démêle les enfers, revient sur leurs dernières années, sur le plus horrible comme le plus beau. Aucune réponse, aucune stratégie de survie dans ce texte rédigé au cœur du choc et de la tristesse. Une voix, tout simplement, une voix littéraire qui a fréquenté le mystère de l’effondrement et de la mort. Cette lettre destinée à quelqu’un qui n’est plus recèle pour les vivants un moment d’émotion, d’écriture et de vérité inimitable. J’ai eu cette idée de t’écrire une lettre – tant qu’à te parler à longueur de journée. Une lettre qui ira – je ne sais pas, on verra. Tu es mort et je ne sais plus vivre. Et je me demande ce que t’avoir accompagné si loin, si longtemps, jusqu’au seuil de la mort, m’aura appris.