Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Faut-il se soucier du care ?


Éditeur : Editions de l'Olivier
ISBN numérique ePub: 9782823604856
Parution : 2015
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection acs4***
Illimité Prix : 24,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

" Care " : sollicitude, soin, coeur rendent imparfaitement l'idée, analysée ici, d'une réflexion sur la place du souci pour autrui. Le care propose une anthropologie aux conséquences néfastes : dans le monde que dessinent les théoriciens du care, il y aurait d'une part des individus vulnérables et dépendants, en attente de care, de l'autre des individus qui se croient autonomes et autosuffisants. Les seconds – les caregivers – construisent cette fausse image d'eux-mêmes sur le travail des premiers – les caretakers – qu'ils exploitent souvent sans même s'en rendre compte.

La confusion entre social et politique, entre privé et public, entre morale rationnelle universelle et sentimentalisme particulier sont trois indices de cette dérive éthique et politique.

« Care » : sollicitude, soin, coeur rendent imparfaitement l’idée, analysée ici, d’une réflexion sur la place du souci pour autrui. Le care propose une anthropologie aux conséquences néfastes : dans le monde que dessinent les théoriciens du care, il y aurait d’une part des individus vulnérables et dépendants, en attente de care, de l’autre des individus qui se croient autonomes et autosuffisants. Les seconds – les caregivers – construisent cette fausse image d’eux-mêmes sur le travail des premiers – les caretakers – qu’ils exploitent souvent sans même s’en rendre compte.La confusion entre social et politique, entre privé et public, entre morale rationnelle universelle et sentimentalisme particulier sont trois indices de cette dérive éthique et politique.