Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Attentat antiféministe de Polytechnique (L')


Éditeur : Les éditions du remue-ménage
ISBN papier: 9782890918832
ISBN numérique PDF: 9782890918849
Parution : 2024
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Livre papier + de 5 Prix membre : 22,46 $
Prix non-membre : 24,95 $
x
Numérique PDF
Protection filigrane***
Illimité Prix : 18,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

D’abord paru en 2009 sous le titre «?J’haïs les féministes?!?», ce livre offre un panorama inédit des interprétations antagonistes de la tuerie survenue le 6 décembre 1989 à l’École Polytechnique de Montréal, durant laquelle 14 jeunes femmes ont été assassinées parce qu’elles étaient des femmes. Il présente aussi les analyses féministes élaborées au fil du temps, et les controverses qu’elles ont suscitées. Dans cette édition revue, augmentée et coiffée d’un nouveau titre, Mélissa Blais prend acte du chemin parcouru. À travers un examen minutieux des discours médiatiques, des commémorations et d’œuvres culturelles, dont le film Polytechnique et la pièce Projet Polytechnique, et grâce à des décennies de recherche et de militantisme, elle constate une lente transformation de la mémoire collective. Or, la menace d’un ressac antiféministe n’est jamais loin?: la dimension politique du geste du tueur serait-elle, encore aujourd’hui, éludée??