Éditeur : La peuplade
ISBN papier: 9782925141976
ISBN numérique ePub: 9782925416067
Parution : 2024
Catégorisation :
Livres numériques /
Autre /
Autre /
Autre.
Format | Qté. disp. | Prix* | Commander |
---|---|---|---|
Livre papier | En rupture de stock** |
Prix membre : 24,26 $ Prix non-membre : 26,95 $ |
|
Numérique ePub Protection filigrane*** |
Illimité | Prix : 18,99 $ |
*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
**Ce produits est en rupture de stock mais sera expédié dès qu'ils sera disponible.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.
La petite Željka habite le comitat du Me?imurje, au nord de la Croatie en guerre. Elle voudrait bien défendre son pays contre les Serbes, mais selon le maître d’école, ce n’est pas pour les femmes. Et comme le docteur dit qu’elle a un défaut dans la tête, elle doit faire de longs séjours à l’hôpital. Alors elle écrit des poèmes. À la maison c’est compliqué. Une fois, un homme est entré chez eux et a voulu égorger son père. La guerre, c’est un peu comme si on obligeait tout le monde à changer. On dirait que seuls les enfants tiennent les promesses d’amitié. Entre naïveté et humour noir, Željka Horvat ?e?? revient sur sa vie de petite fille malade durant la guerre de Croatie (1991-1995). Les joies de l’enfance y brillent d’une réjouissante insolence. La petite Željka habite le comitat du Me?imurje, au nord de la Croatie en guerre. Elle voudrait bien défendre son pays contre les Serbes, mais selon le maître d’école, ce n’est pas pour les femmes. Et comme le docteur dit qu’elle a un défaut dans la tête, elle doit faire de longs séjours à l’hôpital. Alors elle écrit des poèmes. À la maison c’est compliqué. Une fois, un homme est entré chez eux et a voulu égorger son père. La guerre, c’est un peu comme si on obligeait tout le monde à changer. On dirait que seuls les enfants tiennent les promesses d’amitié. Entre naïveté et humour noir, Željka Horvat ?e?? revient sur sa vie de petite fille malade durant la guerre de Croatie (1991-1995). Les joies de l’enfance y brillent d’une réjouissante insolence.