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Petit éloge des cafés


Éditeur : François Bourin Editions
ISBN numérique ePub: 9791025206096
Parution : 2024
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 11,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Des troquets de quartier aux bars des grands palaces en passant par les bistrots étudiants et les terrasses romantiques, les cafés abritent mille et une histoires. Certains sont anonymes mais ont changé des destins, d’autres sont devenus des attractions touristiques incontournables et servent parfois de décor au septième art. Tantôt lieux de mobilisation et de résistance, tantôt espaces de création artistique, à la fois symboles de la vie quotidienne et gardiens du souvenir, les cafés sont une source d’inspiration inépuisable et un refuge pour beaucoup d’entre nous. Le Café de Flore à Paris, celui du Commerce à Ars-en-Ré, Les Pèlerins à Verdelais ou encore Les Deux Garçons à Aix-en-Provence… Léa Wiazemsky les fréquente depuis l’enfance et s’y est toujours sentie à sa place. Entre souvenirs personnels et histoire collective, elle nous embarque dans un vagabondage littéraire qui met à l’honneur les cafés, et celles et ceux qui les tiennent. La romancière et comédienne Léa Wiazemsky a grandi dans l’atmosphère chaleureuse des cafés, où l’emmenaient ses parents Régine Deforges et Wiaz, avant d’y travailler pendant ses études et au début de sa carrière théâtrale. C’est derrière le zinc de l’un d’eux qu’elle a imaginé l’histoire de son premier roman, Le vieux qui déjeunait seul (Michel Lafon, 2015). Dyslexique, Léa Wiazemsky s’est toujours rêvée comédienne, mais certainement pas écrivaine… Elle fait des études de théâtre au cours Périmony et, après trois ans de déclamations dans les bistrots de Montmartre, devient comédienne. Elle joue dans de nombreuses pièces, téléfilms et quelques films, tout en travaillant dans des troquets. C’est derrière le zinc de l’un d’eux qu’elle imagine l’histoire de son premier roman, Le vieux qui déjeunait seul. Elle habite dans le 6e arrondissement de Paris. Les cafés sont des parents pour ceux qui n’en ont plus, ils sont ce pote qui ouvre toujours sa porte, des lieux complices et accueillants. Que l’on s’y rende seul pour écrire, rêver ou noyer son chagrin, que l’on s’y retrouve en bande pour rire, danser, réviser ou s’engueuler, à deux pour démarrer ou finir une histoire d’amour ou de cul, les cafés sont une deuxième maison. En France, en particulier, où ils tiennent un rôle primordial : dans une grande ville qui en regorge comme dans un petit village perdu dans la montagne, le bistrot est le point de rendez-vous, le lieu de lien social. Certains ont une histoire qui se mêle à la grande, d’autres sont anonymes mais ont changé des destins. Léa Wiazemsky fréquente les cafés depuis l’adolescence. Cliente ou serveuse, elle s’y est toujours sentie à sa place, et un café est même au cœur de son premier roman. De ses troquets de lycéenne aux grands cafés où se presse toute l’intelligentsia littéraire, des bistrots où l’on ne fait que passer à ceux où l’on connaît tout le monde, l’autrice nous embarque, entre souvenirs personnels et histoire collective, dans un vagabondage littéraire qui met à l’honneur les cafés et celles et ceux qui les tiennent. Mauvaise élève et dyslexique, Léa Wiazemsky s’est toujours rêvée comédienne, mais certainement pas écrivaine… En plein cœur de Saint-Germain-des-Prés, où elle a grandi, elle a plus fréquenté les cafés que les bibliothèques. À vingt-deux ans, elle commence des études de théâtre au cours Périmony et, après trois ans de déclamations dans les bistrots de Montmartre, elle devient comédienne. Elle joue dans de nombreuses pièces, des téléfilms et quelques films, tout en travaillant, comme toute honnête actrice, dans des troquets pour joindre les trois bouts. C’est derrière le zinc de l’un d’entre eux qu’elle imagine l’histoire de son premier roman, Le vieux qui déjeunait seul (Michel Lafon, 2015). Elle écrit actuellement le cinquième. Elle habite dans le 6e arrondissement de Paris.