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Le baron de Santafusca et le curé de Naples


Éditeur : EDITIONS L'ORMA
ISBN numérique ePub: 9791254760673
Parution : 2024
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 15,99 $
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*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Naples, fin du dix-neuvième siècle. Pour se tirer d’un mauvais pas, un baron oisif et criblé de dettes trouve un arrangement avec un prêtre qui s’est enrichi grâce à l’usure. Déterminé à s’emparer de l’argent du curé, le baron de Santafusca l’assassine, laissant échapper un objet compromettant : le tricorne de la victime. Dangereux indice du crime, ce chapeau devient alors l’objet d’une quête angoissée de la part du meurtrier. Décor de cette intrigue, la volcanique Naples est dépeinte plus vraie que nature. Considéré comme le premier du genre en Italie, ce roman policier porté par une écriture vive et humoristique livre une brillante analyse d’un homme aux prises avec un crime presque parfait, embarquant le lecteur dans les méandres d’une intrigue sophistiquée. Romancier parmi les plus populaires du dix-neuvième siècle italien, Emilio de Marchi a été influencé par plusieurs traditions littéraires, du courant lombard au vérisme et au naturalisme. Dans ses œuvres, souvent à la tonalité policière – Demetrio Pianelli (1890), Jacques l’idéaliste (1897) –, il décrit la société de son époque, et notamment la petite bourgeoisie milanaise. Le baron de Santafusca et le curé de Naples (1888) est considéré comme le premier roman policier italien. Naples, fin du dix-neuvième siècle. Pour se tirer d’un mauvais pas, un baron oisif et criblé de dettes trouve un arrangement avec un prêtre qui s’est enrichi grâce à l’usure. Déterminé à s’emparer de l’argent du curé, le baron de Santafusca l’assassine, laissant échapper un objet compromettant : le tricorne de la victime. Dangereux indice du crime, ce chapeau devient alors l’objet d’une quête angoissée de la part du meurtrier et le motif d’hallucinations et de cauchemars récurrents. Décor de cette intrigue, la volcanique Naples lui donne une couleur particulière, entre déambulations à travers les ruelles bruyantes et discussions cocasses dans les salons de la bonne société. Considéré comme le premier du genre en Italie, ce roman policier livre une brillante analyse d’un homme aux prises avec un crime presque parfait, embarquant le lecteur dans les méandres d’une intrigue sophistiquée et pleine de rebondissements. Porté par une écriture vive et humoristique, le roman alterne avec brio le ton léger d’un récit d’époque et le registre coupant de l’univers gothique. Considéré comme l’un des romanciers les plus populaires du dix-neuvième siècle italien, Emilio de Marchi a été influencé par plusieurs traditions littéraires, du courant lombard (Parini et Manzoni) au vérisme et au naturalisme. Dans ses œuvres, souvent à la tonalité policière, il s’attache à décrire la société de son époque, et notamment la petite bourgeoisie milanaise. Ses romans les plus importants sont Demetrio Pianelli (1890) et Jacques l’idéaliste (1897). Le baron de Santafusca et le curé de Naples (1888) est considéré comme le premier roman policier italien. Auteur à la fois raffiné et apprécié du grand public, il aimait à dire que « si l’art est chose divine, il n’est pas mauvais de temps à autre d’écrire aussi pour les lecteurs ». -- Le préfacier Écrivain, professeur de droit à l’université de Bourgogne et critique pour diverses revues, parmi lesquelles Le Magazine littéraire, Bernard Quiriny s’inscrit dans la lignée des écrivains fantastiques et facétieux tel Marcel Aymé. Il a remporté de nombreux prix littéraires, dont le Prix Victor-Rossel pour Contes carnivores (2008) et le Grand Prix de l’Imaginaire pour Une collection très particulière (2013). Son dernier roman, un autre portrait de gentilhomme, est le Portrait du baron d’Handrax (2022).