Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Le Monde flottant


Éditeur : AU VENT DES ILES
ISBN numérique PDF: 9782367344300
ISBN numérique ePub: 9782367344294
Parution : 2023
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique PDF
Protection filigrane***
Illimité Prix : 15,99 $
x
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 15,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Nous étions dimanche. Le 19. Je déambulais par les rues, soûle de bonheur. Bêtement, j’essayais d’assortir ma tenue à la couleur de rigueur. Le rouge, bien sûr. Le rouge aux fenêtres, dans les cheveux, à la boutonnière, sur les toits. Même si aucun vêtement, aucune teinte n’aurait su dire ce que mon coeur chantait. Tout le monde parlait à tout le monde. Des inconnus vous prenaient par le bras. Tant de félicité nous engourdissait. Des gens hurlaient : « Vive la Commune ! » Moi, je ne disais rien. Je n’avais plus de voix. 1921. Nathalie Lemel, figure méconnue de la Commune de Paris, amie de Louise Michel, va mourir, dans l’indifférence générale. À moins que son jeune aide-soignant, un sansgrade promu secrétaire à qui elle a dicté ses mémoires, ne se lance dans une quête éperdue pour retrouver ces pages. Du petit peuple de Paris aux grandes icônes de l’insurrection, de Brest à Montparnasse, de Quimper à la Nouvelle-Calédonie, au fil de ce roman flamboyant, Frédéric Ohlen questionne les limites, le courage et la pureté de l’engagement. Fre??de??ric Ohlen est un auteur bien ancre?? dans le Pacifique. Homme de cœur et d’action, de musiques et de rythme, il cre??e plusieurs prix littéraires et fonde une maison d’e??dition : L’Herbier de Feu. Officier des Arts et Lettres, écrivain engagé, Frédéric Ohlen devient le pre??sident de la Maison du Livre. Invite?? par des villes, des i?les, et même a? la Come??die-Franc?aise, il a été laure??at du prix Popai? pour ses poèmes, La Lumie?re du monde (2005), et pour Quintet (2014), son premier roman. De la Commune de Paris, l’histoire retient souvent peu de personnalités et encore moins de femmes. Avec ce roman, Fréderic Ohlen ressuscite Nathalie Lemel, figure importante de la Commune de Paris tombée dans l’anonymat. Dans un récit à rebours, Le monde flottant s’ouvre sur les derniers jours de la pétroleuse en 1921. Tombée dans la misère et la solitude, l’ancienne militante et combattante des barricades, désormais aveugle, se meurt dans un hospice de la région parisienne depuis six années. La bretonne, au caractère bien trempé et au militantisme exigeant confie ses mémoires et ses écrits à son jeune aide-soignant, lui laissant le soin de les faire vivre après sa mort. Des mémoires qui ne transigent pas avec les finalités de l’engagement militant, les exigences qui en découlent et auxquelles Nathalie Lemel s’est astreinte, quitte à égratigner certaines icônes, comme Louise Michel. La semaine sanglante de mai 1871, le procès, la déportation et les années passées au bagne de Nouvelle-Calédonie, aussi bien que le retour à Paris sont passés au crible des souvenirs désordonnés et de l’analyse sévère de l’indéfectible militante socialiste, féministe et indépendante. Homme de mots, Frédéric Ohlen nous offre un voyage érudit dans la Commune de Paris et la pensée labyrinthique et inspirante du Vieux Sergent. Issu d’une famille d’e??migrants allemands venus de Hambourg, ville partiellement de??truite par un gigantesque incendie en 1842, Fre??de??ric Ohlen est un auteur bien ancre?? dans le Pacifique. Son ance?tre, qui tenait une pension de famille a? Sydney, de??cide de s’embarquer pour la Nouvelle-Cale??donie en 1859. Il y fondera, a? Pai?ta, en affrontant les foudres du clerge?? catholique, la premie?re e??cole lai?que. Aujourd’hui, l’e??cole publique, sise au centre du village, porte son nom. Fre??de??ric Ohlen a raconte?? l’histoire de cet homme hors du commun – et de la Cale??donie d’avant le bagne – dans un roman a? cinq voix, Quintet (Gallimard, 2014). Un texte fortement impre??gne?? par le Re?ve oce??anien. Fre??de??ric Ohlen est ne??, un sie?cle plus tard, le 15 de??cembre 1959, dans l’ancien Quartier ge??ne??ral des Forces ame??ricaines reconverti en polyclinique a? l’Anse-Vata. Ai?ne?? de sa fratrie, il vit alors au 6e Kilome?tre, dans l’une des dernie?res fermes de Noume??a. Re??pondant a? l’appel d’une vocation pre??coce apparue de?s l’e??cole primaire, il e??crit, a? l’a?ge de dix ans, son premier livre. Fin cavalier, il sera, trois anne??es durant, de 1975 a? 1977, champion territorial de sauts d’obstacles par e??quipe. Apre?s des e??tudes de Droit et de Sciences politiques (il est, a? la Sorbonne, l’e??le?ve de Robert Badinter), il devient volontaire a? l’Aide technique, en Brousse, a? Bourail, dans un lyce??e expe??rimental. Il passe ensuite brillamment le concours de professeur de Lettres-Histoire. Il est, en effet, le premier Cale??donien a? sortir major d’un concours national. Longtemps charge?? de mission aupre?s des inspecteurs pe??dagogiques re??gionaux en Lettres et en Histoire-Ge??ographie, il œuvrera pour la mai?trise des langages et s’investira dans la lutte contre l’illettrisme. Tout en continuant a? e??crire, Fre??de??ric Ohlen consacre de??sormais le plus clair de son temps, ses e??tudes acheve??es, a? diverses entreprises sociales et culturelles. Homme de cœur et d’action, de musiques et de rythmes, il cre??e et anime aussi be??ne??volement, durant une de??cennie (1987-1997), un atelier de cre??ation litte??raire, Les Feuillets d’Hypnos, en hommage a? Rene?? Char. Il rassemblera les fruits de cette expe??rience dans un essai : Les Chemins de la cre??ation (Centre de Recherches et de Documentation pe??dagogiques, 1993). Tre?s attache?? a? la promotion du livre et de la lecture, il met en place a? Rivie?re-Sale??e la Grande Bibliothe?que de l’Imaginaire (1994), assortie d’une dotation de plusieurs milliers d’ouvrages, bibliothe?que qui deviendra, quelques anne??es plus tard, me??diathe?que municipale. Encres marines... Il cre??e aussi plusieurs prix litte??raires, dont le Prix TranspaSci-Fique (1989-2000), biennale bilingue (anglais-franc?ais) de nouvelles qui associera les 17 pays et territoires membres de la Communaute?? du Pacifique. Il regroupera et pre??facera les meilleurs textes issus de ce concours international au sein de deux ouvrages : En d’autres temps, en d’autres lieux... (E??ditions du Sci-Fi Club, 1994), repris en partie par le Livre de Poche dans une anthologie pre??sentant les meilleurs auteurs de l’Hexagone, et La Dernie?re Fugue (ibid., 1998), avec des textes de Nouvelle-Ze??lande, de Tonga et du Vanuatu, dont il supervisera la traduction en franc?ais. Le cœur a ses raisons... Fre??de??ric Ohlen a fonde??, dans la foule??e, une maison d’e??dition, L’Herbier de Feu, voue??e a? la publication de nouveaux talents. Il a ainsi e??dite??, sous forme associative, une quarantaine d’ouvrages, et autant d’auteurs. Parmi eux, Pierre Gope (S’ouvrir, 1999), Paul Wamo (Le Pleurnicheur, 2005 ; J’aime Les Mots, 2008), Luc Camoui et Georges Wayewol (Phaanemi, le Ressouvenir, 2005 ; Placebo, 2011), ainsi que Denis Pourawa (Les Mots des Murs, photos : Tokiko, 2005), poe?tes kanak dont il est le premier a? publier les poe?mes. Dans le cadre du Printemps des Poe?tes, il est ainsi a? l’origine de quatre recueils, coe??crits avec les e??tudiants de l’Universite?? de la Nouvelle-Cale??donie et avec les e??le?ves des classes de CE/CM de la ville du Mont-Dore : Lianes (1999), Solstice (2000), Secre?te Aria (2002), Une Heureuse Rencontre (2004). Il a e??dite??, enfin, Avant que la Nuit tombe (L’Herbier de Feu, 1999), un ouvrage collectif, illustre?? par Mathieu Venon, et vendu sous l’e??gide de la Croix-Rouge, au profit des enfants victimes de la guerre. Il re??ite?re cette initiative en 2009, avec Magnitude 7, un recueil conc?u et publie?? pour venir en aide aux sinistre??s d’Hai?ti. Le temps de la reconnaissance Invite?? par le Secre??tariat d’E??tat aux DOM-TOM (a? trois reprises), pour repre??senter a? Paris la Nouvelle-Cale??donie, par des centres culturels, des universite??s, des villes (Quimper, 2006 ; Marseille, 2008), des i?les (Tahiti, Ouessant) ou des alliances franc?aises (Port-Vila, Ade??lai?de), et a? la Come??die-Franc?aise (25-29 janvier 2006), a été laure??at de nombreux prix, dont : le PRIX DE LA NOUVELLE (Semaine du Livre cale??donien, 1988), pour L’Oiseau de Mise??ricorde (in Flamboyant imaginaire n° 1, 1989),le PRIX DE LITTE??RATURE JEUNESSE (bibliothe?que Bernheim, 1998), attribue?? a? sa nouvelle Tovaritch ; le PRIX DES NICKELS DE L’INITIATIVE (cinq fois entre 1994 et 2004), pour l’e??dition, entre autres, de deux anthologies poe??tiques : 40 ans de Poe??sie, 1954-1994 (ADLP, 1994), Poe?mes de la Nouvelle, terre d’exil et de bagne (L’Herbier de Feu/Amis de la Poe??sie, 2004) et d’un texte ine??dit de Fernande Leriche : Sourep, Ambroisine et autres re??cits (ADLR, 1997), exhume?? dans les fonds re??serve??s de la bibliothe?que Bernheim ; le PRIX POPAI? DU GOUVERNEMENT DE LA NOUVELLE-CALE??DONIE (a? deux reprises), de??cerne?? d’abord, en 2005, a? l’occasion du Salon international du Livre oce??anien (SILO), pour : La Lumie?re du Monde (poe?mes), mais e??galement pour Quintet, son premier roman.Officier des Arts et Lettres (2019) et chevalier des Palmes acade??miques pour « services exceptionnels rendus a? l’E??ducation nationale » (2003), il a e??te?? l’un des animateurs de l’Unite?? d’Enseignement et de Recherches Production d’e??crits, a? l’Universite?? de la Nouvelle-Cale??donie, ou? il a enseigne?? durant six ans (dont deux be??ne??volement). L’un de ses textes les plus connus, Premier sang (Grain de Sable, 2001) a e??te?? traduit en italien par Micaela Fenoglio (Linfa de Sangre, Sèves de sang, Stampatori, 2002, Turin), auteure d’un essai magistral sur la litte??rature francophone de la Nouvelle-Cale??donie : Des Racines et des Ailes (L’Harmattan, 2004). Lire un pays... E??crivain engagé, Frédéric Ohlen devient le pre??sident-fondateur : avec Cathie Manne??, en 2003, de l’Association des E??diteurs et des Diffuseurs de la Nouvelle-Cale??donie (AEDE),avec Diane-Lise Da-Ros, en 2004, de l’Association pour le De??veloppement des Arts et du Me??ce??nat industriel et commercial (ADAMIC), qui œuvre « au de??veloppement et au rayonnement durable et e??quitable de tous les arts. L’ADAMIC ge?re actuellement le Rex, a? Noume??a. de la Maison du Livre de la Nouvelle-Cale??donie (2007-2017), anciennement sise au Faubourg-Blanchot, dans la maison Ce??lie?res afin de fe??de??rer les diffe??rents acteurs du livre, de favoriser et de promouvoir la cre??ation litte??raire contemporaine. La MLNC a de??sormais emme??nage?? dans ses nouveaux locaux, salle Eiffel, a? la bibliothe?que Bernheim.Une navigation au long cours... Fre??de??ric Ohlen a regroupe?? plusieurs livres : La Maison au bord du monde (1981), Sang d’encre (1987), Ode a? Edo (1988), Le Letchi et l’Argile (1989), Le Cœur goe??land (1989), sous le titre La Voie solaire (Guy Chambelland, Paris, 1996), illustre?? par le poe?te et ce??le?bre libraire parisien Marcel Be??alu (Le Pont traverse??) et par une architecte islandaise, Helga Thorsdottir. Il a re??cidive??, un peu plus tard, avec : La Peau qui marche (1993), Impairs (1994), Cinquante-Douze Poe?mes cyberne??tiques (1995), B & B poe??sie, eleven irish poems (1995), Demande au Vent du soir (1996), e??dite??s sous le titre : La Peau qui marche et autres poe?mes (440 pages, L’Herbier de Feu, 1998). Suivront d’autres recueils, dont La Lumie?re du Monde (Grain de Sable, 2004). Ce dernier livre se pre??sente comme une navigation au long cours et interroge l’Art et l’Histoire : l’Exposition coloniale, la pre??sence ame??ricaine, l’immigration, la conscription obligatoire, l’Occupation, la Shoah, la guerre civile en Angola, un vieux Kurde re??chappe?? d’Halabja, le menhir de Saint-E??milion, une fresque de Delacroix... C’est un tourbillon dont le fil conducteur est la passion du voyage. Le poe?te ne saurait se contenter de rester immobile en un point de la terre, de la vie, de la socie??te??, il doit e?tre kine??tique et te??moigner des grands enjeux de son temps. Un oce??an d’i?les... Fre??de??ric Ohlen est e??galement l’auteur : de spectacles, dont Cale??donie passion (Fe??de??ration des Œuvres lai?ques, 1989), E??loge de l’Autre (bibiothe?que Bernheim, 2008), en bino?me avec le poe?te Michel Chevrier, sur des chore??graphies originales de Richard Digoue??, Prisons (librairie La Touriale, Marseille, 2008), performances pour lesquelles il investit the??a?tres et cafe??s, pianos-bars, places et jardins ;- de trois pie?ces de the??a?tre : Duo, in O? saisons, o? cha?teaux (L’Herbier de Feu/Province Sud, 2001), joue??e en 2000 au cha?teau Hagen, par la compagnie Ale??the??i?a ; puis reprise, en 2007, par la compagnie Les Incompressibles (Salon international du Livre oce??anien, Hienghe?ne) ; Et ton nom sera voyageur (in Sillages d’Oce??anie, ADENC, 2007), mis en sce?ne au Centre culturel Tjibaou par Gilles Granouillet (auteur-associe?? a? la Come??die de Saint-E??tienne, centre dramatique national fonde?? par Jean Daste??), en 2003 ; et repris par la compagnie Les Enfants migrateurs au festival E??quinoxe (Noume??a) puis au Salon international du Livre oce??anien (Hienghe?ne, 2007). Fils du Ciel (L’Herbier de Feu, 2011), monologue e??tonnant d’un concierge qui a pris en otage son usine et ses patrons voyous... Cerne?? par la police, l’homme se confie avant d’e?tre abattu.Une quinzaine de ses textes, extraits de divers recueils, ont e??te?? se??lectionne??s pour un spectacle a? la Come??die-Franc?aise (janvier 2006), de??nomme?? Semaine de l’Oce??anie : un oce??an d’i?les, et interpre??te??s par Laurent Stocker, ce??sar 2008 du meilleur second ro?le. De??tache?? en Me??tropole le 3 janvier 2006, Fre??de??ric Ohlen a e??te?? mandate??, en de??cembre 2005, pour repre??senter la Nouvelle-Cale??donie dans les diffe??rents salons et festivals pendant toute l’Anne??e de la Francophonie. Interdire l’indiffe??rence... L’écrivain-poète a e??te?? salue?? par de nombreux confre?res. Marcel Be??alu (libraire et e??crivain, 1986): « Vous avez raison ! La poe??sie est partout et la vie est extraordinaire. Gardez cette purete??, cette se??re??nite??, ce calme qui permet au silence inte??rieur de se de??chai?ner. » Guy Chambelland (poe?te et e??diteur, 1994) : « Une grande pulsion vous habite, que vous communiquez au lecteur aise??ment, parce que votre monde rele?ve autant du re??el que de l’image. Voila? de la surprise, de la parole qui demeure. » Georges-Olivier Cha?teaureynaud (pre??sident de la Socie??te?? des Gens de Lettres, prix Renaudot 1982): « Je crapahute a? travers votre œuvre comme dans les plus divers des pays et des paysages. Il y a de tout : de la gravite?? et du jeu, de la faconde et de l’e??motion, de la virtuosite?? et de la simplicite??. Je compte la faire connai?tre a? d’autres. » Alain Bosquet (poe?te, Pre??sident de l’Acade??mie Mallarme??, 1994): « En poe??sie, il faut savoir e?tre contagieux. Vous l’e?tes a? de nombreux moments. Homme au chapeau mordu par tous les vents du monde, votre identite??, qui vous rend unique, est d’en avoir plusieurs. Vous utilisez notre langue. Vous en avez la modernite?? : notre plane?te re??tre??cit, et ce que vous e??crivez, nous pourrions l’e??crire. La fraternite?? du verbe est ainsi conserve??e, en de??pit des antipodes. Vous nous aidez a? conserver l’universalite?? du franc?ais, bien que votre paysage ne soit pas le no?tre. Vous avez, en supple??ment, un assez rare privile?ge : vous vous exprimez dans une langue impre??gne??e par l’Ici. Vous y puisez des sonorite??s particulie?res, des cris du corps, une fierte?? enracine??e sur un territoire exigu, comparable a? aucun autre. » Michel Herland (ancien Vice-Recteur de la Nouvelle-Cale??donie, in Fre??de??ric Ohlen, un poe?te inspire?? par la rumeur du monde, Mondes anglophones, 2007): « Fre??de??ric Ohlen mai?trise des registres tre?s divers. Sa manie?re de poe??tiser se reconnai?t peut-e?tre le mieux a? cela. Il pratique le vers libre sans s’interdire, a? l’occasion, la cadence qu’apportent des vers de me?me longueur. Il entrai?ne le lecteur avec des me??lodies aux accents varie??s, qui vont du comique au tragique, du le??ger au grave. Il sait aussi bien inscrire dans la pierre des poe?mes hie??ratiques, des vers majestueux, que tourner une ritournelle de caf’-conc’. Enfin, il est incontestable que, tout en laissant aller sa plume au gre?? de son inspiration, Fre??de??ric Ohlen ne perd jamais de vue le message qu’il entend de??livrer. Loin d’e?tre chez lui un acte gratuit, sa poe??sie fonctionne pluto?t a? la manie?re d’une plante carnivore. La beaute?? est la? pour attirer lecteur, le message pour le mettre face aux ombres et aux lumie?res du monde, et lui interdire l’indiffe??rence. » Source : blog de Joël Paul

Du même auteur...

Livre papier 1 Prix : 15,99 $
x

Le Monde flottant

Éditeur : AU VENT DES ILES
ISBN : 9782367344294
Parution : 2023


Livre papier 1 Prix : 28,99 $
x

Les Mains d’Isis

Éditeur : Editions Gallimard
ISBN : 9782072624742
Parution : 2016


Livre papier 1 Prix : 28,99 $
x

Les Mains d’Isis

Éditeur : Editions Gallimard
ISBN : 9782072624759
Parution : 2016