Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Rencontres en territoires contestés


Éditeur : Groupe Nota bene
ISBN numérique PDF: 9782896061891
Parution : 2022
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique PDF
Protection filigrane***
Illimité Prix : 20,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

À travers le prisme des performance studies, Julie Burelle porte son regard sur divers cas d’autoreprésentation autochtone au Québec et analyse la manière dont ceux-ci remettent en question le discours identitaire national des Québécois·es de souche française – à savoir les descendant·es francophones des premiers colons venus d’Europe, qui se considèrent non plus comme des colons, mais comme un peuple lui-même colonisé, et dont le Québec constitue le territoire légitime. Abordant un large éventail de performances, Rencontres en territoires contestés confronte les récits discordants portés, d’une part, par le théâtre d’Alexis Martin et le documentaire L’empreinte, qui présente les Québécois·es de souche française comme un peuple métis, et, d’autre part, par les films d’Yves Sioui Durand, d’Alanis Obomsawin et du projet Wapikoni mobile. Il s’attarde également à une marche de protestation organisée par des militantes innues, à l’art visuel de Nadia Myre ainsi qu’au travail de rapatriement effectué par la compagnie de théâtre Ondinnok. Ces performances ébranlent les définitions établies de la souveraineté et en proposent de nouvelles, rappelant à la province et plus particulièrement aux Québécois·es de souche française qu’il existe d’autres manières d’envisager le futur et de se souvenir du passé. À travers le prisme des performance studies, Julie Burelle porte son regard sur divers cas d’autoreprésentation autochtone au Québec et analyse la manière dont ceux-ci remettent en question le discours identitaire national des Québécois·es de souche française – à savoir les descendant·es francophones des premiers colons venus d’Europe, qui se considèrent non plus comme des colons, mais comme un peuple lui-même colonisé, et dont le Québec constitue le territoire légitime. Abordant un large éventail de performances, Rencontres en territoires contestés confronte les récits discordants portés, d’une part, par le théâtre d’Alexis Martin et le documentaire L’empreinte, qui présente les Québécois·es de souche française comme un peuple métis, et, d’autre part, par les films d’Yves Sioui Durand, d’Alanis Obomsawin et du projet Wapikoni mobile. Il s’attarde également à une marche de protestation organisée par des militantes innues, à l’art visuel de Nadia Myre ainsi qu’au travail de rapatriement effectué par la compagnie de théâtre Ondinnok. Ces performances ébranlent les définitions établies de la souveraineté et en proposent de nouvelles, rappelant à la province et plus particulièrement aux Québécois·es de souche française qu’il existe d’autres manières d’envisager le futur et de se souvenir du passé.